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samedi 16 janvier 2021

Le Cas Lambert: Un coup de maître de Michel J. Martelly ?

Si pour le commun des mortels l'arrivé du sénateur Joseph Lambert a la présidence du sénat est pour défendre la constitution, nos analystes politique sont allés plus loin pour savoir si le cas Lambert n'est pas un coup de maître de Michel Joseph Martelly?

 La politique n'est pas une pratique des enfants de cœurs, chaque acteurs utilisent leurs stratégies en vue de sauvegarder ou de conquérir le pouvoir, il existe un vieux dicton qui dit: "L'homme qui a le pouvoir ne va pas lâcher le pouvoir facilement aux mains de ses adversaires".
C'est ce que nous assistons en ce moment avec date du 7 février 2021 qui annonce la fin du mandat constitutionnel du président Jovenel Moise. Des promesses qui n'ont pas été tenu, les différentes massacres pour neutraliser les zones dites non droits en vue d’empêcher le soulèvement populaire, la violation des droits humains, la chasse aux sorciers des opposants politiques et les reformes a sens unique, le bilan de la bande a Jovenel Moise est un bilan entaché de fraude et d'action illégale qui peut être même encouru a des poursuites judiciaires si l'on fait référence aux rapports sur les massacres de la saline et du Bel air, qui lèvent le voile sur l'implication des dirigeants politiques et jusqu’à même sanctionner deux ancien fonctionnaire par le trésor américain en l’occurrence de FEDNEL MONCHERRY ancien directeur générale du ministère de l’intérieur et des collectivités territoriales et PIERRE RIGAUD DUPLAN ancien délégué départemental de l'Ouest sans oublier un ancien policier en l’occurrence de JIMMY CHERIZIER alias "BARBECUE".

Ces événements ne reste pas sans conséquences sur l'avenir du régime en place affaiblit au fil des années. Marginalisation des opposants après avoir gagné frauduleusement les élections commencées en 2015 qui était la dernière année de l'ancien président MICHEL JOSEPH MARTELLY, Moise paie le prix fort pour n'avoir mal compris la politique haïtienne et qui réellement possède le levier de gouvernance public en Haiti.

Les institutions étatiques sont a genoux et dans l'idée d’établir une dictature, le président Moise a réduire le pouvoir du parlement seule institution de contrôle en le réduisant a sa propre expression en violant l'une de ses attributions qui est d'assurer la bonne marche des institutions.

Les années passent, nous nous arrivons a un carrefour ou l'équipe du PHTK n'est pas en mesure de rien organiser et n'inspire pas confiance a personne. L'opposition entame des discussion et des pressions politiques politique pour que la date du 7 février 2021 soit respecté, un bras de fer entre les protagonistes. 

Michel Martelly se Positionne. 

Michel Martelly qui comprend le rejet de son régime par la population a déjà fait son chemin pour établir une diversion en s'alignant du cote de CHOLZER CHANCY ancien président de la chambre des députés et même aller vers la création d'une structure politique connu sous le nom de "ASE".

L'animal politique qui est un ami de l'ancien Président est mieux armée dialectiquement pour se positionner s'il y a une éventuelle transition en vue de rassurer ses amis qu'il n'y aura pas de poursuites judiciaires et d'exclusion au cours des élections a venir, Un Cas rare pour un Lambert assermenté de devenir le président d'Haiti même par une transition politique après autant de rumeur faisant croire que l'homme fort du Sud'est était en position de devenir premier ministre pour apaiser les tendances et même aller vers un partage de pouvoir.

La politique n'est pas l'affaire des gentils, mais si on croit que la politique est la gestion de la cité et du bien être collectif, je me demande qui parmi ces acteurs serait prêt a mettre ses intérêts personnels une fois de cote au profit de l’intérêt collectif.






SURPRIS JOHN KELLY

vendredi 27 décembre 2019

La démission du président Jovenel Moise?


Jovenel Moise (Président de la république d’Haïti)

Un décryptage de la situation politique d’Haïti avec des opinions académiques et institutionnelles. 

Si pour les occidentaux, la démocratie populaire a travers le suffrage universel et le renouvellement des personnelles politiques est le fondement de toutes les nations du monde, en Haïti ce genre de pratique reste un idéal pour les acteurs politiques malgré la lutte menée par des politiques anti-progressistes pour renverser le dernier régime dictatorial que connait le pays.
Depuis les élections de 1990, les acteurs politiques n'acceptent pas d’accéder au pouvoir par les urnes malgré le fondement de la nation repose sur une constitution claire et précise pour éviter toute forme de pouvoir autoritaire et totalitaire.
Cette culture politique est devenue une tradition, désormais la classe politique haïtienne ne digère pas l'idée d'un président issu des élections arrive au terme de son mandat. La maladie du pouvoir de cette classe politique qui ne défend que ces intérêts est devenu un cancer indélébiles pour ce pays du tiers monde fragilisé, fragmenté depuis le lendemain de son indépendance.
Par conséquent, cette maladie incurable constitue un handicap pour la stabilité qui est considérée comme la pièce maitresse de toute développement si on se réfère aux évolutionnistes.

Plusieurs président ont été la cible de cette maladie, notamment Jovenel Moise.


Depuis son arrivé au pouvoir, le 7 février 2017, le pays et sa classe politique ne croit pas que quelqu'un venu de nul arrive vraiment a la présidence d’Haïti, une crise a vu le jour par des mauvais perdants et des candidats malheureux et depuis ce jour ils ont juré de prendre les jusqu'au départ de président élu.
De nombreuse soulèvement ont vu le jour, les revendications populaires sur éclaircissement des fonds de Petro-Caribe, une aide financière accordé par le Venezuela,le dossier d'identification (DERMALOG), suite a ces revendications, plusieurs massacres ont été enregistré et des journalistes ont été aussi tués.
D'une part, le pouvoir utilise la force et la répression pour forcer les opposants faire marche arrière dans leurs revendications avec le soutien de ses alliés occidentaux.
D'autre part,l'opposition politique ne veut pas coopérer avec le président Moise sinon que sa démission.

 Et si Jovenel Moise démissionnerait?

 

Si le locataire du palais national avait pris la décision de remettre sa démission, le pays serait connaitre le même sort qu'il avait connu en 2004, une situation dans laquelle, les opposants politiques et les (bourgeois) qui financent cette opération bénéficieront toutes  les  avantages économiques au détriment du peuple haïtien du point de vue économique. Il y aura l'exclusion du parti au pouvoir ainsi que ses alliés pour un certain nombre de temps comme c'était le cas du parti "Fanmi Lavalas" après le départ du président Jean Bertrand Aristide en 2004 du point de vue politique. Du point de vue institutionnelles, le pays connaitrait une vide institutionnelle ou le président provisoire aurait le droit de diriger par décret en absence du parti qui serait dysfonctionnel le deuxième lundi du mois de Janvier 2020.

A chaque transition, une partie de l'élite intellectuelle et économique du pays ont profité d'appliquer la politique du ventre et du bas ventre, afin de mieux profiter du désordre pour faire du beurre en très peu de temps, une pratique qui a de lourd conséquence économique sur le pays.

 Ce qui est sur, la population est devenu de plus en plus pauvre, l'insécurité fait son nid, l'inflation atteint les deux chiffres et le pays est proche a une situation humanitaire.



                                                                                                                                      Auteur:Anonyme.